Si le savoir-faire lié aux parfums de Grasse a pu accéder au statut de patrimoine culturel immatériel de l’humanité, pourquoi l’odeur des livres n’y pourrait pas postuler ? Alors que la mairie du Ve arrondissement défend ses bouquinistes bec et ongles pour qu’ils figurent dans cette liste, une étude d’avril 2017 — rédigée en juillet 2016 ! — qui soutenait ce projet, refait surface.
Un article à lire sur le site d’actualitté :
https://www.actualitte.com/article/patrimoine-education/l-odeur-des-vieux-livres-un-patrimoine-culturel-digne-de-l-unesco/95014